1 Hors norme et fântomatique , il faut penser que François 1er n'allait pas plus de deux jours par an dans son pavillon de chasse.On y vient peu, on y chasse, on n’y reste guère.
2 Style médiéval & Renaissance, bienvenue à Chambord.
3 Donjon carré flanqué de quatre tours, puissamment ancré au sol , Chambord est un modèle de symétrie.
4 Symétie en trompe l'oeil , recouverte de cheminées , de tourelles, mariant la pierre et l'ardoise.
5 La lumière de février se reflète dans les petits carreaux de lumière.
6 Une cour plus une autre cour, le secret de Chambord.
7 L'autre coté de la façade avant ; vous suivez ?
8 Allez , rentrons avec notre petit groupe pour une visite insolite.
9 L'oeil est au centre du château.
10 Vous avez deviné , il est le centre de l'escalier à double hélice qui est au centre du donjon carré.
11 Le parc.
12 Chaque coin à son escalier extérieur identique.
13 L'entrée du château ; je vous vois perdu.
14 Les cheminées.
15 Parées d'ardoises et baties en tuffaut blanc.
16 L'escalier pénétre dans le plafond constellé de Salamandres royales.
17 La couronne portée par la tour de la lanterne.
18 Vu de l'extérieur.
19 Une tour.
20 Un dernier regard sur le toit.
21 Il y a peu de meubles d'époque , profitez en.
22 Le poële du duc de Saxe , un tantinet frileux.
23 La cuisine
24 et ses cuivres
25 Avec ilot central
26 Le lit
27 La porte est d'origine.
28 Retournons vers la lanterne
29 Les décors.
30 Les parties hautes du château, au foisonnement et à la verticalité encore gothiques.
31 Nous déambulons parmi ces décors fantasmagoriques.
32 Dans la lanterne.
33 Il se compose de deux rampes jumelles hélicoïdales s’enroulant l’une au-dessus de l’autre autour d’un noyau creux et ajouré. Cet escalier dit « à doubles révolutions » dessert les étages principaux de l’édifice, jusqu’aux terrasses sommitales où il est surmonté par la plus haute tour du château, la tour-lanterne.
34 Les charpentes.
35 Véritable coque de bâteau renversée.
36 Etonnante virtuosité des sculteurs.
37 Le centre du carré.
38 Les pilastres, les médaillons, les candélabres et les rinceaux envahissent alors les façades, les lucarnes ou les souches de cheminée